24 août 2011
Douce torpeur
Pour une fois, je ne voulais pas parler du matin qui se lève, des soleils qui émergent et du rose dans le ciel. Mais, alors que je m’armais pour affûter une prose bien rôdée que l’on me commande, le reveil m’a plongée dans une douce torpeur, un tourbillon de douceur qui me remplit de bonheur. Le goût âcre du café que je ne sucre jamais se mèle à des parfums délicieux, à des encens merveilleux. Un poème s’écrit autour de mon âme ravie, dans les transes d’un plaisir infini.
Décidément, j’ai bien fait de ne pas mourir l’an passé, car, encore une fois je le redis, depuis, la vie me fait & m’a sacrément fait crédit...
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