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9 août 2011

Tendresse infinie

Mon cœur adolescent se love dans les transes

D'une tendresse infinie à la douceur exquise

Ce parfum m'enivre & m'envole dans la danse

Où les pauvres âmes damnées trouvent une entremise

.

Un repos mérité, à l'usure des années

Quand le jour se lève sur une évidence

Baignée de la douceur de la fleur d'oranger

& que l'on retrouve, étonné, son enfance

.

La vie ne se joue pas dans les dans les rêves éveillés

Mais, ce matin, mon âme veut croire ardemment

Qu'un cadeau précieux l'attendait chevillé

.

Aux carrefours numériques & dans le croisement

Des sentiments qui dansent & qui nous rassasient

Quand définitivement, la vie nous fait crédit.

A Vous, forcément...

 

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Commentaires
F
:) Tant mieux.<br /> Maintenant, je crois qu'il faut laisser reposer ce poème dans les flots de l'été...
L
, absolument Flo* ;-)<br /> <br /> * les flots .. <br /> <br /> p.s : je m'essaie à un compromis, donc à naviguer entre le conseil donné par Henri Laborit dans " Eloge de la fuite ", ou à ' la cape ' et ' diem ' ..
F
Merci Doc, mes yeux se ferment tout seuls. <br /> Il faut virer "comme le dit le titre du poème" de mon com. J'avais changé ma phrase mais oublié ce bout là. Après, on pourra y lire tous les lapsus que l'on voudra, je m'en fiche. Il paraît qu'il ne faut pas craindre les mots. <br /> Bonne nuit à toi aussi.
L
Bonne nuit Florence.<br /> <br /> LD un peu J.P
F
http://licencepoetique.canalblog.com/archives/2011/11/16/22693356.html?t=1321921697687#c46336755<br /> <br /> Voilà. <br /> J'avais bien compris pour ton expression lever l'encre, pour le reste, tu as sans doute raison. Pour ma part, je commence à fatiguer de toutes ces histoires du net. J'ai envie de réel, de soirées, de regards, de conversations, comme le dit le titre de ce poème. Journée hyper fatigante, à moi de lever l'ancre, avec un a. Retour sur la passerelle demain, quand les albatros survoleront le navire qui glisse sur les fameux gouffres amers...
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