19 octobre 2013
Pour Franck, un rêve azuré
J’ai besoin de ces vagues à l’écume rayonnante, ces flots trop ondoyants qui me brisent d’écume & rapportent avec eux ce parfum que je hume. Il n’est nul autre endroit où je saurais rêver que ces terres iodées, ce voyage infini, au creux de ces lagunes, sous la ligne d’horizon. Soleil à peine levé, ciel encore orangé. On hésite sûrement coucher de soleil, aube qui pointe son nez ? Qu’en est-il de nos rêves devant cette nature nimbée d’aspects ambrés ? Agitée cette âme se jette dans l’océan comme mes vers estropiés. Alexandrins douteux, je vous offre à la mer. Mais je garde pour moi mon amour éternel, celui de la marée & ce petit garçon qui rêve peut-être encore au coeur de l’aube naissante.
Florence
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